L'arnaque
En affichant les 3 programmes (NS, SR et FB), on se rend tout de suite que l'on a affaire à :
- un programme de droite libérale de N. Sarkozy,
- un programme de gauche sociale de S. Royale,
- à un vide de F. Bayrou.
En effet, la réduction du déficit n'est pas un programme. Cela dépend de quel déficit et pourquoi. Ensuite, sa mesure immédiate pour permettre aux entreprises de créer deux emplois sans charges, montre que son équipe ne connaît pas la réalité des entreprises (ses économistes sont connaissent plus les médias ou le grandes firmes que les PME). A propos de cette mesure phare, son caractère impraticable apparaît tout de suite si on se pose les questions pratiques suivantes : des emplois pour quelle demande? Quelle qualification? Quel contrat proposer aux salariés? Comment distinguer les emplois avec charges sociales et les emplois sans charges sociales. Ensuite, pourquoi des emplois nouveaux alors qu'il encourage en même temps les heures supplémentaires? On voit bien ici que c'est tout simplement une autre façon, mais plus déguisée de dire "pour gagner plus il faut travailler plus". Sinon, rester des travailleurs pauvres.
Je suis fortement étonné du succès rencontré par M. Bayrou qui, chaque fois qu'il parle, brasse du vent. Car enfin, que signifie mettre la gauche et la droite ensemble, mais "sur mon programme". Il veut confier le gouvernement de la France à la dictature des parties, avec une instabilité à l'Italienne ou bien cherche-t-il à dynamiter le système pour permettre à l'extrême droite d'arriver au pouvoir. Il reprend le programme de droite néolibérale avec les mesures les plus "dures" de la droite
En somme, M. Bayrou nous dit: je n'ai pas de programme, je n'ai pas de parti capable de gouverner sans l'UMP, je ne veux de "strapontin" dans un gouvernement de Sarkozy, mais je veux devenir Président et donner le pouvoir à l'UMP.
Cela s'appelle de la démagogie et de la politique politicienne. Et c'est très grave!
- un programme de droite libérale de N. Sarkozy,
- un programme de gauche sociale de S. Royale,
- à un vide de F. Bayrou.
En effet, la réduction du déficit n'est pas un programme. Cela dépend de quel déficit et pourquoi. Ensuite, sa mesure immédiate pour permettre aux entreprises de créer deux emplois sans charges, montre que son équipe ne connaît pas la réalité des entreprises (ses économistes sont connaissent plus les médias ou le grandes firmes que les PME). A propos de cette mesure phare, son caractère impraticable apparaît tout de suite si on se pose les questions pratiques suivantes : des emplois pour quelle demande? Quelle qualification? Quel contrat proposer aux salariés? Comment distinguer les emplois avec charges sociales et les emplois sans charges sociales. Ensuite, pourquoi des emplois nouveaux alors qu'il encourage en même temps les heures supplémentaires? On voit bien ici que c'est tout simplement une autre façon, mais plus déguisée de dire "pour gagner plus il faut travailler plus". Sinon, rester des travailleurs pauvres.
Je suis fortement étonné du succès rencontré par M. Bayrou qui, chaque fois qu'il parle, brasse du vent. Car enfin, que signifie mettre la gauche et la droite ensemble, mais "sur mon programme". Il veut confier le gouvernement de la France à la dictature des parties, avec une instabilité à l'Italienne ou bien cherche-t-il à dynamiter le système pour permettre à l'extrême droite d'arriver au pouvoir. Il reprend le programme de droite néolibérale avec les mesures les plus "dures" de la droite
En somme, M. Bayrou nous dit: je n'ai pas de programme, je n'ai pas de parti capable de gouverner sans l'UMP, je ne veux de "strapontin" dans un gouvernement de Sarkozy, mais je veux devenir Président et donner le pouvoir à l'UMP.
Cela s'appelle de la démagogie et de la politique politicienne. Et c'est très grave!